Ode à 2020
Ah ! J’étais tellement secoué le mois dernier par l’aventure extraordinaire qui venait de m’arriver avec cette rencontre d’un brave type (et de son lama) au sommet du Méné-Bré, que j’en avais presque oublié de célébrer cette nouvelle année qui s’ouvrait à nous. Et pas n’importe quelle année ! Car celle ci-ci est affublée d’un double 20, ce qui ne se reproduira pas de sitôt, croyez moi. Alors, pour me faire pardonner, je dirai tout simplement :
Ah donc, ne soyez pas si vains
et souffrez s’il vous plaît qu’il vint
chargé de lourds tonneaux de vin
célébrer l’année deux-mille-vingt
Et si par malheur à la fin
Gavé de ce breuvage divin
Vous avez soudain quatre mains
Sachez que vous n’y pouvez rien
C’est l’année du vingt et c’est bien
Pour retrouver votre chemin
Vous attendrez bien l’an prochain
Mais évitez tous les ravins
Et vivez bien votre deux-mille-vingt
Théophile Ronchoit