
C’était la 45ème édition de notre Salon Photographique, le premier sous l’égide complète de Dany Jerphagnon (elle en conduisait la scénographie depuis plusieurs années, mais elle est maintenant notre présidente tout court).
Au vu des quelques photos souvenirs ci-après et de nos archives accumulées depuis 2003, c’est toujours un peu la même chose, mais pas tout à fait, ne serait-ce que par l’apparition de nouveaux visages, et parce que chaque nouveau Salon apporte sa spécificité. Et puis, aussi, nous avons un public qui attend que cet événement revienne, comme celui de l’année d’avant, mais toujours renouvelé.


Prise en main des lieux le premier jour. Il y a beaucoup à faire, nous sommes nombreux mais toutes les mains sont bienvenues.

Dominique Pavy (à gauche) et Jean-Yves Le Pennec se sont chargés d’accrocher les grandes affiches dans la vitrine.

Depuis la gauche, Claude Rougerie, Cindy Rabouan, Jacques Courivaud et Serge Raoul.

Dany donne quelques explications à l’équipe de montage.


Tout est prêt le jour J à l’heure H et les premiers visiteurs peuvent entrer. La presse locale est déjà au travail avec Jacques Courivaud (de dos).


Puis arrive le grand moment, le discours de notre Présidente — qui a pris un peu de hauteur pour l’occasion — avec la Présidente de l’Imagerie et l’Adjointe à la Culture à ses côtés. En quête de renouveau dans nos invités d’honneur, nous avions obtenu le concours du club canadien de Repentigny (dans le Québec) et du club suisse de Lausanne. A notre grande surprise, ceux-ci ont envoyé une délégation participer au vernissage ; à la fin des discours officiels, ils sont venus exprimer leur reconnaissance et leur satisfaction d’avoir ainsi été distingués.


Puis le pot traditionnel…
…et aussi, plus tard, un autre moment important que nous voudrions également fondre dans la tradition (mais c’est moins facile) : le nettoyage des lieux après le départ des derniers invités, afin que la salle soit impeccable pour les visiteurs du lendemain. Doit-on noter comme un relâchement, comme une baisse d’enthousiasme, par rapport au Salon précédent [2014] ? Ou serait-ce simplement qu’il n’y avait que deux balais disponibles ?

La soirée s’est achevée au Tire-Bouchon.
Charles Vassallo