Ça y est, je suis là !
Qui ça ?
Moi, le blog d’Objectif Image Trégor, le fameux club photo aux 140 adhérents.
Mon accouchement a été un peu long, mon premier article date précisément du 9 septembre 2015 à 20h 46m 42 s mais je ne suis visible sur la toile à partir d’un moteur de recherche que depuis Jeudi 21 Janvier 2016. Louis Dupré, Jean Claude Sapanel ont créé l’enveloppe du blog, on dit que notre blog est fièrement « propulsé par Word Press » c’est beau, non ?
D’accord, c’est beau mais la technique ne nous intéresse pas, elle doit être « transparente » comme on dit. Par contre ce qu’il contient doit nous fournir les informations qui nous intéressent, ce que l’on veut c’est bien des articles ou des pages qui parlent de nous.
Allez, je me lance, regardons un peu comment ça marche, c’est quoi ce truc avec des articles qui vous arrivent sans aucun classement, où est le sommaire ?
Il n’y en a pas.
Mais alors, c’est n’importe quoi, la vente de cadres usagés style « le bon coin » cohabite avec des questions qui nous intéressent au premier plan, nous les photographes, avides de techniques qui vont nous transformer en « PHOTOGRAPHES experts »
Par exemple « Comment amoindrir l’impact de ce contexte pour remettre l’artiste et sa monture au premier plan dans l’image ? »
Si vous lisez bien le blog, vous pouvez retrouver qui a écrit cette phrase, même si vous pouvez le deviner !
Et comment donc ?
En utilisant la fonction « recherche », le petit carré vert dans la barre de menus, en haut à droite. Cliquez et comme dans le moteur de recherche Google, vous tapez ce que vous cherchez.
Si vous cherchez la phrase ci-dessus, vous la retrouverez parmi les 137 articles écrits dans le blog depuis sa naissance.
Enfin, crois-tu que je vais m’amuser à chercher ce que je veux lire à chaque fois que j’ouvre le blog ? Moi, je le dis franchement, je préférais le MOIT, mon ami Théophile est lui aussi très peiné de sa disparition, son poème est un grand cri de désespoir…
Non, si tu veux lire les derniers articles tu te contentes de faire défiler la page web vers le bas …
C’est bien ce que je disais, c’est n’importe quoi, il n’y a même pas de numéro de page, un livre avec une seule page de 3 kms de long, t’as déjà vu ça toi ?
Non, enfin, écoute moi, ce qui va t’arriver avec ce blog c’est que tu vas changer ta façon de communiquer avec les adhérents du club, tu ne te contenteras plus de seulement lire une fois par mois, le MOIT, ou de rechercher dans les archives de l’ancien site web ce que tu cherches. Tu vas aussi pouvoir proposer des articles, tu seras « un auteur » en proposant un contenu au comité de rédaction [notre présidente, Jean Claude, Louis, Jacques] qui après relecture te proposera une mise en ligne dans la catégorie d’article qui correspond.
Mais, tu n’es pas obligé, tu peux seulement trouver des informations qui te manquent, « Quand envoyer les photos pour participer au salon national d’auteurs d’OI ? », trouver « la date de l’assemblée générale qui a changé » …
Et si tu veux seulement lire les infos de la fédé, regarde ici à droite, clique sur la petite flèche « catégories » tu choisis « Fédé » et hop tu as toutes les infos qui se regroupent dans la page web qui s’affiche. De la même façon, tu peux retrouver les infos mois par mois dans « sélectionner un mois ».
J’arrête, Louis et Jean Claude ont mis au point un mode d’emploi détaillé, tu as dû le recevoir par un mail envoyé par Charles comme d’habitude. Si tu le lis, pas à pas, tu progresseras et au final tu m’accepteras comme je suis et peut-être commenceras-tu à m’apprécier.
En tout cas, je suis né pour toi et je suis prêt à évoluer pour répondre à tes besoins.
Un dernier petit mot, tu peux aussi devenir un adhérent connecté en t’abonnant au flux RSS du blog, quand tu seras prêt, tu suivras les conseils de Jean Claude et Louis et dans ta boite mail quand un nouvel article apparaît sur le blog tu seras informé par un lien.
Tu vois, tu ne lis plus une seule fois par mois, tu peux réagir plus rapidement, tu peux participer un peu plus à la vie du club …
Des adhérents actifs, moi j’aime ça.
Jacques Courivaud