Voici qu’arrive enfin l’heureux temps des vacances,
Lequel rime si bien avec insouciance,
On oubliera bien vite les soucis du travail,
En retrouvant le rite des pieds en éventail.
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Mais n’oublie pas l’ami que tu es l’obligé,
De ton club, jour et nuit, l’esclave d’OIT,
Point de répit sais-tu pour les braves adhérents,
C’est l’été m’entends-tu que l’on shoote à tout vent.
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Alors ne faiblis point et pars vite en campagne,
Renonce aux petits riens, c’est pas comme ça qu’on gagne,
Reviens à la rentrée avec tout plein d’images,
Un été à bronzer, ce serait bien dommage.
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M’est avis, c’est certain que le climat social,
Aurait été serein sans cette loi travail,
Il fallait d’évidence que le gouvernement,
Propose une loi vacances pour que l’on soit contents.
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Théophile Ronchoit
